Les encombrants : vaste sujet s'il en est.

Auparavant, un mois sur deux, le SIVOM passait pour récupérer vos encombrants. Problème 1 ou 2 jours avant les camions tournaient dans toutes les rues pour récupérer tout ce qui pouvait être monnayé.

Nouveau Maire, nouvelle méthode. Il faut maintenant contacter le SIVOM pour prendre un rendez-vous en expliquant que l'on a des encombrants. Le SIVOM vous donne alors une date et vous devez déposer les éléments la veille au soir sur le trottoir.

Bon jusque là, nous pourrions dire, pourquoi pas, c'est plutôt bien.

Mais si 2 personnes voire plus appellent le SIVOM dans la même mois avant la première date fixée, il y a fort à parier qu'il donnera la même afin de limiter les allers et retours des camions

Nous pensons que beaucoup n'appelleront pas le SIVOM et qu'ils jetteront les objets dans la poubelle verte, ou alors qu'ils s'en débarrasseront là où il y a déjà des encombrants. A côté de la place de Gondy par exemple.

Incivilité ? Méthode non comprise ?

Le sujet n'est pas simple. Au final cela consistera à donner un jour par mois pour le ramassage. Nous risquons par contre de voir les camions tourner d'avantage ne sachant pas quelle date sera fixée.

En attendant, les encombrants jonchent les rues ...

Rue Jacques Prévert : générer des risques en sécurisant.

Certes, vouloir améliorer la sécurité rue Jacques Prévert, est une bonne chose.

Il ne faut pourtant pas sous ce prétexte agir de manière dogmatique. La pose de chicane obéit à des règles précises qui n'en doutons pas seront respectées. Cependant à voir le nombre de tâtonnements effectués en un laps de temps très court dans cette rue, cela laisse un peu pantois.

Les stops sont positionnés à l’intersection avec des rues en impasse d’où débouche peu de véhicules. Certes cela va freiner la vitesse mais ils se trouvent à moins de 30 m des virages, quand l’on vient de la rue du Général Leclerc, et même en arrivant à 30 km/h si jamais il y deux véhicules à l’arrêt au stop le véhicule arrivant n’ayant pas de visibilité risque un accident.

De plus, la pose de chicanes juste avant le virage en venant de la rue du Général Leclerc ajoute un danger supplémentaire par le fait que les véhicules seront obligés de s'écarter sur la chaussée.

Sans compter sur l’attitude des automobilistes peu respectueux du code de la route.

Ce n’est certes pas facile mais, à notre avis, il faut réfléchir autrement ....

Un beau projet culturel et artistique abandonné.

C'est en 2015, que l’équipe de M.Genrdonneau est contactée par l’artiste Annabelle Bayart, pour nous présenter les projets de création d'écoles d'art de son amie Zaza Noah.

Le principe en est que, sous couvert d’une association, des artistes en résidence viennent durant quelques mois donner des cours aux enfants et en fin de session, une expo vente des œuvres des peintres et des enfants, sert à financer l'association.

Nous sommes alors emballés par le projet et nous rêvons que Santeny devienne le petit Barbizon du Val de Marne. Pourquoi pas ?

De quoi faire revivre les restaurants, voire d'en développer.

Nous cherchons dans un premier temps un lieu pour accueillir à la fois le studio, l'atelier et la salle d'exposition et nous visitons notamment un hangar à la ferme des Lyons.

Ne souhaitant pas perdre la dynamique du projet et un appartement de fonction se libérant à l'école nous décidons  de le mettre à disposition des artistes tout en affectant une salle d'école pour l'atelier, mais cette solution n'étant pas pérenne, c’est alors que nous pensons au presbytère et à la Pompe à incendie

Artiste invitée au salon  des métiers d'art, Zaza Noah se fait connaître du Territoire.

Entre-temps l'idée d'une académie d'art se développe et comme le projet est beau, nous décidons de le confier au Territoire qui veut aider et porter un projet phare sur chaque commune du Plateau Briard. L’idée étant par la même occasion de faire restaurer la presbytère par le Territoire, la commune n’ayant pas les moyens de le faire elle-même.  La réhabilitation auparavant étudiée par la commune aurait selon les premières estimations coûté entre 1 et 1,5 millions d'euros.

Séduit par le projet, le Territoire accepte la rétrocession du bâtiment et tout début 2019 un architecte est sélectionné par appel d'offre. Ce dernier commence même les sondages et les études du bâtiment.

Il devait y avoir entre autres de la peinture, de la sculpture, de la photo, un studio de musique et une salle d'exposition permanente à la Pompe à incendie. De quoi donner envie aux enfants de s'épanouir dans tous ces domaines.

Hélas, aujourd'hui, nous ne pouvons qu'en parler au passé  le Maire actuel et son équipe, ayant choisi, à peine élus de jeter ce beau projet aux oubliettes, faisant fi dans le même temps des frais déjà engagés.

Reste à connaître ce qui a motivé cet abandon.

Clientélisme, promesse de campagne, rester entre soi, allez savoir ...

C'est en tout cas très désolant !